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En pleine recherche espace atypique à acheter, vous ressentez le eu un coup de foudre. Mais avez-vous relativement fait le saut de la question ? Pour se faire une idée précise, il est conseillé de visiter le bien immobilier à des heures différentes et de se renseigner sur son cadre administratif. Renseignez-vous sur l’état du réseau électrique ( le diagnostic électrique est obligatoire pour les appartements de plus de 15 ans ), mais aussi du réseau d’eaux potable, de le toit, du gros œuvre, etc. Les documents fournis par le vendeur sont-ils en règle ? Depuis la loi Carrez, les différents actes et contrats doivent avoir la surface connue du bien. Vérifiez aussi la présence d’une assurance dommage-ouvrage en cas de gros travaux récents. Les charges de copropriété sont dans certains cas un coût difficile à maîtriser. Des travaux déjà votés avant l’achat peuvent se retrouver à votre charge, si le contrat de vente le stipule ou si leur montant n’a pas encore été fixé. Vous pouvez contacter le syndic de copropriété pour avoir le compte-rendu des dernières réunions, afin de savoir précisément à quoi vous attendre.
toute transaction immobilière donne lieu à la réalisation de diagnostics indispensables ( performance énergétique, amiante, plomb, surface loi Carrez, électricité, gaz, risques d’origine naturelle et techniques, état des sols, mérules, traitement des eaux usées ). La liste des diagnostics à fournir à l’acquéreur avance selon l’ancienneté du bien, de son statut, de ses caractéristiques et de son implantation géographique. Ne survolez pas ce dossier : sa lecture attentive peut vous éviter de faire une erreur d’achat immobilier. Vous envisagez d’acquérir un appartement en copropriété. Dans quel état se trouve cette dernière ? Même si l’assemblée générale n’a encore rien décidé, des façades anciennes et détériorées et un toit abîmé entraîneront en panne terme une décision de travaux et des appels de fonds. il faut pouvoir vous positionner en tenant compte de ces composants. Les décisions déjà prises vous seront quant à elles communiquées par le notaire au moment de la signature de la promesse, mais sachez voir au-delà pour éviter de colossales déconvenues.
Une attention spécifique à l’état des bardeaux pourra vous donner une indication sur ce point. y a-t-il des bardeaux manquants ? Certains sont-ils abîmés ? Si beaucoup de correctifs doivent être accomplies, vous devrez envisager de remplacer la toiture. Toujours concernant l’état des bardeaux, sachez que si ceux-ci sont ondulés ou que leurs rebords sont relevés, cela pourrait conseiller la présence d’une aération déficiente dans l’entretoit. Qu’en est-il des soffites ? Ces dernières doivent être présentes en un nombre suffisant pour assurer que la toiture soit convenablement ventilée. D’ailleurs, la présence d’une d’évacuation est elle aussi obligatoire afin de permettre au vent entrant par les soffites d’être expulsé de le toit. Les fuites ou les taches de cambouis près de la cheminée sont, quant à eux, des preuves que celle ci devra soit être réparée ou remplacée dans le pire des cas. Il se peut qu’une infiltration d’eau se soit produite grâce à du manque d’étanchéité du solin autour de sa base.
Le contrat de réservation n’est pas un contrat de vente. Il est plutôt considéré comme une promesse d’achat et est à un délai de rétractation légal de 10 jours, à compter de sa notification en recommandé. C’est le délai fournie sur l’accusé de réception qui fait foi. La rétractation se fait par la même direction et le dépôt de garantie est remboursé entièrement si le délai de 10 jours est respecté. Le jour de la remise des clés, l’acheteur est invité à se présenter par lettre conseillée. Une visite de réception des travaux est réalisée avec le vendeur, au cours de laquelle le moindre défaut devra être relevé au procès-verbal de livraison. Si la visite ne fait ressortir aucun problème, le solde du prix est réglé. dans le cas contraire, il peut être conservé sur un compte spécifique à la Caisse des Dépôts et Consignations. Il ne sera payé que lorsque les réserves seront levées.
Vous devez d’abord déterminer si vous pouvez vous permettre d’acheter un bien immobilier. fort heureusement, vous n’avez pas à payer le prix d’achat par vous-même. En Suisse, en règle générale, on contracte une hypothèque pour acheter un bien immobilier avec l’aide d’un capital extérieur. Dans la plupart des cas, vous devez financer vous-même 20% de votre bien immobilier. Votre épargne ou les avoirs de votre caisse de pension peuvent être, par exemple, employés à cette fin. Avec l’argent de votre prévoyance professionnelle, vous pouvez toutefois payer au maximum la moitié d’un logement immobilier. Vous pouvez financer beaucoup de 67% d’un bien avec la première hypothèque et 13% avec la deuxième. La banque vous prête de l’argent et prend votre maison en construction en garantie. Chaque année, vous payez beaucoup budget, à titre d’utilité sur votre crédit. sachez que vous devez avoir totalement remboursé la deuxième hypothèque dans un délai de 15 ans maximum. Demandez au propriétaire moderne la raison de la vente. Soyez critique et, en cas de doute, questionnez les plans et l’extrait du registre foncier. Il peut être nécessaire de plus de faire face les voisins, ainsi vous faire une idée de le climat. Si possible, visitez la maison plusieurs fois afin de voir le bien sous différentes conditions de lumière.
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