Expatriation fiscale au Paraguay : Tout ce qu’il faut savoir en 2025

Devenir résident au Paraguay offre une solution judicieuse pour les contribuables en quête d’ réduction d’impôts légale. Cette nation sud-américaine se démarque par un régime fiscal particulièrement avantageux, alliant accessibilité administrative et des taux réduits.

Par opposition à nombreuses juridictions, le Paraguay n’impose pas les revenus étrangers, si de ne pas les rapatrier au Paraguay. Un avantage majeur pour les freelances, les pensionnés ou les épargnants dont les sources de revenus s’étendent à l’étranger.

En outre majeur : l’absence de restrictions sur les capitaux, autorisant les mouvements financiers librement. Les résidents fiscaux bénéficient de plus d’une fiscalité allégée sur les revenus locaux, avec un seuil de 10% pour les particuliers.

Complément d’information à propos de en savoir plus

Les bénéfices distribués non locaux et les plus-values financières soustraient de leur côté à l’impôt, à condition de ne pas être réinvestis dans le pays. En dernier lieu, le Paraguay propose un environnement réglementaire sans complexité, sans les complexités administratives rencontrées dans d’autres destinations fiscales, le rendant une option prisée pour une expatriation fiscale fluide.

Quelles sont les conditions nécessaires pour bénéficier de la résidence fiscale ?



L’obtention de la résidence fiscale au Paraguay s’appuie sur des critères bien définies, mêlant présence physique et preuves de lien avec le pays. Le critère de base de six mois chaque année représente le fondement du mécanisme.

Ce délai est réparti (allers-retours) ou sans interruption, mais doit être strictement prouvée via les sceaux de passeport valide ou les fichiers migratoires numériques.

Outre de la durée de présence, les autorités demandent une domiciliation fixe sur le sol, représentée par un bail locatif, un titre de achat immobilier ou une domiciliation professionnelle.

Une couverture santé sur place est également exigée, de même que la monstration de revenus suffisants (capital, revenu, pension). Même si le Paraguay n’impose pas de montant d’investissement obligatoire, les candidats se doivent de prouver une volonté d’intégration pérenne.

Résidence fiscale paraguayenne : Le processus administrative



La démarche administrative pour être reconnu comme résident fiscal au Paraguay s’articule en plusieurs phases, à partir de l’obtention d’un titre de court séjour en passant par l’inscription auprès des impôts.

En premier lieu consiste à soliciter un visa de étendu résidence (valable deux ans), octroyé par les représentations diplomatiques paraguayens ou in situ pour les ressortissants dispensés de visa de visite.

Le pack à déposer comprend :
– Un passeport valide à jour,
– Un casier de casier judiciaire (certifié et traduction assermentée),
– Un certificat de naissance officiel (avec apostille),
– Des preuves de revenus (relevés bancaires, revenus réguliers, etc.).

Après validation, un titre de résidence temporaire est émis. Pour bénéficier de la résidence définitive (et par conséquent à la résidence fiscale), il convient de renouveler ce permis passé 24 mois et attester les 183 jours de résidence effective.

En dernière étape, l’enregistrement auprès du Service des Impôts est indispensable pour se voir attribuer un numéro fiscal (RUC), pièce maîtresse du rôle de résident fiscal.

183 jours au Paraguay : La règle ainsi que ses conséquences fiscaux



Le critère des 183 jours par an est essentiel dans la reconnaissance de la résidence effective, toutefois son mise en œuvre concrète requiert une maîtrise fine.

Cette durée sont additionnables sur la période annuelle, sans séjour ininterrompu. Les preuves acceptées comprennent les sceaux de passeport, les réservations d’avion ou les registres numériques des services d’immigration.

En matière fiscal, le Paraguay soumet ses résidents à une imposition exclusivement locale :
– Gains non locaux : Exonérés (pourvu qu’ils ne soient pas transférés),
– Profits générés sur place : Taux échelonné jusqu’à dix pour cent pour les individus,
– Dividendes locaux : Assujettis à une taxation directe de quinze pour cent,
– Gains sur biens immobiliers : Taxées à 15 % (sous réserve de allègements envisageables).

Les accords fiscaux signées par le Paraguay (peu nombreuses) sont susceptibles de affecter cette fiscalité, cependant la majorité des résidents étrangers soumis du système fiscal standard.

Une préparation de fiscalité anticipée est ainsi indispensable pour prévenir les possibilités de taxation redondante.

Le certificat de résidence fiscale paraguayen : Guide pratique



Le document officiel de résidence fiscale est une pièce administratif émis par le SET, prouvant qu’une personne est bien assujetti à la fiscalité locale.

Il assure un fonction essentiel pour :
– La lutte contre de une imposition multiple (grâce à les conventions fiscales),
– L’adéquation aux normes internationales (Common Reporting Standard, loi américaine),
– Les démarches auprès des banques (ouverture de comptes, mouvements financiers).

Pour l’obtenir, le résident doit se présenter en personne dans les locaux de l’administration fiscale en possession de :
1. Son passeport,
2. Son titre de résidence définitive,
3. Une preuve de adresse actuelle (relevé ou contrat de location).

La requête est généralement examinée en dix à quinze jours ouvrables ouvrables, sans coûts supplémentaires conséquents.

Lorsqu’il est émis, cette attestation reste en vigueur pour douze mois, renouvelable chaque année. Ce document est judicieux de s’y prendre tôt si l’on a l’intention de des démarches financières ou des investissements à l’étranger.

Quelques institutions financières peuvent demander une traduction officielle assermentée de ce document.

Comment réussir son projet au Paraguay ?



Un déménagement à l’étranger au Paraguay se prépare soigneusement pour éviter les difficultés bureaucratiques ou fiscales.

Avant de partir, il convient de solliciter un expert en optimisation fiscale transnationale afin d’ examiner les répercussions de ce changement sur son statut personnelle, notamment en domaine de sortie du système fiscal initial (taxation à la sortie, contraintes administratives restantes, etc.).

Une fois installé, l’installation nécessite des démarches essentielles :
– Créer un compte bancaire local (des institutions imposent un versement de départ ou une référence),
– Souscrire une protection maladie adaptée aux normes paraguayennes,
– Se déclarer auprès de des services fiscaux.

Il apparaît aussi judicieux de s’intégrer les réseaux d’expatriés, surtout grâce à les réseaux en ligne ou les clubs, pour profiter de retours d’expérience.

Pour finir, quoiqu’ le Paraguay fournisse une large autonomie fiscale, il convient de suivre scrupuleusement les délais de mise à jour des papiers de résidence et de archiver une preuve écrite de toute correspondance avec les services publics, afin de accélérer les procédures futures.